« le ça » diary – version papier

« le ça » diary, version papier

22 x 28 cm, format magazine, 36 pages, couverture semi-brillante de 250 g/m², papier mat 115 g/m².

« paysages, créatures, voyages, amis, objets, images, camarades, moments de mon quotidien capturés pendant la création, ou qui ont inspiré la fabrication de mon disque « le ça », assemblés autour de mes textes, mon diary, roman-photo. »

Pour rompre mais ne pas plier, Mamfredos livre un extented play à vif. 5 titres comme autant de sutures musicales qui rapprochent les peaux séparées. Des rythmes qui font battre la chamade. Et sa voix qui nous montre l’issue.

TOUT ÇA POUR ÇA

Le rythme enivrant de « Tout ça pour ça » nous emmène dans la ronde infernale des questions qui ne nous lâchent pas quand l’autre nous laisse tomber. Quand nos bras ne servent à rien d’autre qu’à brasser du vent et que nos lèvres embrassent le vide.

ESSAYE ENCORE

« Essaye encore », c’est  le quitte ou double de Mamfredos. En quelques phrases, elle réinvente les règles du jeu de l’amour. Parce qu’une partie n’est jamais finie tant que reste la belle. Et l’espoir de se retrouver sur la case d’un nouveau départ.

LE ÇA

Ça passionnel, ça tourment, ça folie, ça tristesse, ça magique, ça mélancolie, ça séduction, ça désir, ça érotique, ça beauté, ça ivresse, ça désespoir, ça solitude, ça sensualité, ça étreinte, ça intrigue, ça délicatesse, ça danse, ça soupir, ça caresse, ça violence. Ça n’a pas de parole.

ÇA VA POUR CETTE FOIS

Donner c’est donner et reprendre c’est volage. Mamfredos veut bien payer l’addition mais pas tendre l’autre joue. Alors « ça va pour cette fois ». Mot d’ordre qui va nous faire danser sur l’air d’une nouvelle ère.

SURMOI

Tomber les masques. Se débarrasser de ses oripeaux. Naître enfin. Respirer de nouveau. Même si ça fait mal. Surmoi parlera à celles et ceux qui ont enfoui bien profondément leurs envies. A écouter en boucle comme une introspection musicale et jouissive.